Drames, histoires d’amour impossibles, chants, danses et décors flamboyants... Ce sont bien les codes des films de Bollywood. Quels sont les longs-métrages les plus populaires du cinéma indien ? Qui sont les visages incontournables de Bollywood ? Passage en revue du 7ème art indien.
Le cinéma Bollywood, contraction de Bombay (aujourd’hui Mumbai) et Hollywood, est un univers à part entière dans l’histoire du 7e art. Principalement tournés en hindi, les films Bollywood mêlent romances, intrigues familiales, drames et scènes musicales spectaculaires. Ils sont réputés pour leurs danses rythmées, leurs costumes éclatants et un style souvent qualifié de "kitsch", mais profondément émotionnel. Chaque année, l’Inde produit plus de 2 000 films, dont une grande partie à Bollywood, contre environ 500 à Hollywood. Une industrie florissante, mais à moindre coût : un blockbuster indien coûte en moyenne dix fois moins cher qu’un film américain.
Le succès des films indiens repose sur des recettes bien établies : amour, jalousie, action, famille et traditions. En Inde, le cinéma est bien plus qu’un loisir : c’est une culture de masse, avec ses acteurs érigés en icônes et ses histoires profondément ancrées dans la société. Pour découvrir l’univers riche de Bollywood, voici une sélection de classiques incontournables, véritables piliers de cette cinématographie flamboyante :
Impossible d’évoquer Bollywood sans parler de ses légendes. Shah Rukh Khan domine l’industrie depuis les années 1990 avec plus de 80 films à son actif. Aishwarya Rai, élue Miss Monde 1994, est une figure iconique reconnue autant en Inde qu’à l’international. Citons également Salman Khan, acteur sulfureux mais adulé du public, ou encore Priyanka Chopra et Kareena Kapoor, actrices au rayonnement immense. Ces personnalités incarnent à elles seules la diversité et la passion du cinéma indien.
Si les comédies musicales indiennes restent incontournables, le cinéma d’auteur indien connaît aussi un bel essor. Voici une sélection de films Bollywood récents ayant marqué les spectateurs et la critique :